La cité de Dinanth
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 Isilwen Sinëa

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Auteur Message
Isilwen Sinëa

Isilwen Sinëa

Messages : 16
Localisation : Les forêts luxuriantes des sombres étendues.

Caractéristique
Puissance:
Isilwen Sinëa Left_bar_bleue700/2000Isilwen Sinëa Empty_bar_bleue  (700/2000)
Pouvoirs:
Relations:

Isilwen Sinëa Vide
MessageSujet: Isilwen Sinëa   Isilwen Sinëa I_icon_minitimeVen 18 Sep - 19:52

Isilwen Sinëa Tifak
Nom : Sinëa
Prénom: Isilwen
Âge: 66 ans mais 23 ans d'apparence
Sexe : Féminin
Orientation Sexuelle : Bisexuelle
Race : Mi-elfe mi-vampire (Elfe)
Clan : Neutre.

Élus(es): non.
Élément: {Spécifique au élémentalistes seulement}

Pouvoirs:

Isilwen a hériter des pouvoirs de deux races, les vampires et les elfes, mais ces pouvoirs se sont un peu mélanger, lui conférant des pouvoirs inconnu. Elle connait le pouvoir des plantes, pouvant préparer des potions et onguets allant de la simple pommade apaisante à l'aphrodisiaque surpuissant, voir au poison mortel. Elle peut aussi parler au animaux, sans toutefois les forcer à obéissance. Elle ne peut cependant pas exercer de magie de lumière ou de guérison comme les elfes. Elle peut aussi accroître sa puissance et sa vitesse en puisant dans l'énergie de son sang. Isilwen est assujetie à la même faim que les vampires, la nécessité de boire du sang. Elle ne peut cependant pas se changer en chauve souris, ni en quoique ce soit d'autre. Elle a aussi hérité de la grâce et de l'agilité de sa mère. La force et la vitesse des vampires alliées à l'agilité et à la souplesse des elfes en fond une guerrière redoutable et une danseuse sans rivales. Mais le plus effrayant est sa voix quand elle s'allie à sa faim vampirique. Elle peut alors envouter de son simple chant les esprits de faibles volonté, les attirants à elle dans les recoins sombres pour leur offrir une fin au combien délicieuse.

Physique:

Isilwen est une femme splendide, des cheveux noir des ténèbres, longs et lisses, des yeux marrons d'une profondeur à couper le souffle, une silhouette fine sans pour autant être longiligne comme sa mère, avec une poitrine généreuse, sans être superflue, le dos légèrement cambré, sa chute de reins mettant en valeur ses fesses rebondies mais ferme, ainsi que de longues jambes musclées mais sexy. Son visage est doux, ses lèvres fines mais attirante, un petit nez et des oreilles légèrement pointues, signes de ses origines elfiques. Elle mesure un mètre soixante-huit, pèse 60 kilo, et possède une peau très claire et laiteuse, douce comme le satin. Détail est que ses yeux virent à l'écarlate lorsque ses instincts sombres et écarlates l'envahissent.

Elle s'habille d'un débardeur blanc qui s'arrête avant le nombril, et par dessus un gilet en cuir fin sans manche. Elle porte aussi un pantalon moulant s'arrêtant à mi-cuisses, ainsi qu'une sorte de paréo par-dessus, court devant et long derrière. Elle porte également des gants en cuir, renforcer au niveau des phalanges, qui lui servent pour se battre. Un petit ruban rouge est attaché à son bras gauche, lui rappelant le risque qu'entraîne ses pulsions, et la force à toujours se contrôler. Ses vêtements sont fait pour lui laisser un maximum d'aisance dans ses mouvements, confectionnés par elle-même.


Caractère:

Isilwen est à mi-chemin entre la lumière et les ténèbres. Elle possède un caractère doux et calme, mais elle est aussi perverse et méfiante. Même si elle est gentille et prévenante en apparence, elle reste solitaire et réservée, n'accordant sa confiance que de manière exceptionnelle. Elle n'apprécie pas du tout les êtres des ténèbres, mais son goût pour le sexe et sa faim de sang font qu'elle ne peut non plus s'intégrer au clan du bien. Elle ne peut réellement apaiser sa faim que par le sang pur des elfes, le sang des autres races ayant un goût fade et un vitalité peu nutritive pour elle. Même si elle accepte de se nourir de sang quand le besoin se fait trop urgent, elle éprouve toujours un sentiment de culpabilité, mais pas de dégout envers elle-même. Comme les vampires, le sang lui procure un bien-être incomparable à elle et un plaisir fabuleux à sa victime. Elle s'occupe rarement des affaires des autres. Vous pouvez vous faire battre à mort devant elle, elle n'interviendra pas à moins que vous lui donniez une raison de s'intéresser à vous. Elle est du genre beauté intouchable qui ne s'intéresse pas aux autres. Elle est plus attirée par les femmes que les hommes, car leur sang est plus pur mais aussi car les hommes lui rappelle les mots de sa mère quand elle lui avait parlé de son père.



Histoire:

Isilwen est née dans les profondes forêts de (...). Sa mère Illianaë était une Elfe, beauté parmi les siens, qui avait été exilée dans le royaume des humains après s'être opposée aux siens, même si le bannissement était plutôt la conséquence d'une décision prise par rapport à ce dernier.
Cela se passa un soir sur les bords du lac qui s'étendait non loin du village où elle habitait, sous un clair de Lune chatoyant, mais étrangement funeste. Elle s'était assise contre un saule, admirant le paysage nocturne qui s'offrait à elle dans sa plus grande simplicité. La brise était douce et tiède, la voûte céleste se reflétant dans l'eau comme si elle avait été capturée par cette dernière, le silence réconfortant de la forêt endormie.

Illianaë menait une vie paisible, entourée de l'amour et de l'innocence de ses semblables, nul mal n'évoluant dans ce monde de beauté et de pureté. Pour elle, les ténèbres n'étaient que légendes et rumeurs. C'est en tout cas ce qu'elle croyait, et ce qui suivit bouleversa sa vie. Alors qu'elle se remémorait sous le saule sa longue balade à cheval de la veille, une ombre émergea de la forêt, se dirigeant vers l'étang. Sa démarche exprimait clairement la fatigue et la douleur. L'elfe la remarqua au moment où cette dernière s'écroulait sur l'herbe fraîche, à quelques mètres d'elle. Sa nature bienfaitrice agissant instinctivement, elle se rendit rapidement auprès de l'homme exténué couché face contre terre. Elle s'agenouilla à ses côtés, essayant de le faire réagir en lui parlant d'une voix inquiète. Le destin joue parfois de mauvais tours, nous ne le savons que trop bien.

Au moment où elle le retourna, elle le sentit lui échapper des mains. Croyant qu'il glissait, elle se pencha plus en avant. Elle ne comprit pas tout de suite, réalisant ce qu'il se passait lentement et de manière trop tardive. L'individu n'était pas tombé, mais s'était au contraire redressé, se collant à elle. Elle sentit comme un picotement au niveau du cou, puis une vague de plaisir indescriptible l'envahit, la faisant gémir et s'accrocher au corps plaqué contre elle. Elle ne se rendit pas compte que l'ombre à qui elle avait voulu porter secours n'était en fait qu'un vampire assoiffé et ténébreux. Ce dernier avait profité de la proximité de l'elfe et s'était jeté sur ses veines sans perdre un instant pour se nourrir d'elle, de son fluide vital.

Elle sentit ses forces déclinée peu à peu, tétanisée de plaisir et les nerfs en feu. Pourtant, le parasite s'arrêta de boire le fluide vital avant que cela ne tue sa victime. Il se pencha sur cette dernière qui s'était laissée coucher docilement, et là contempla d'un air sadique et mauvais. La dernière chose que vit Illiana fut l'horrible sourire qui arborait le visage du mort-vivant, un sourire froid et cruel. Elle sombra ensuite dans un état semi-conscient, et tout ce qui lui restait était des morceaux de souvenirs, et une douleur déchirante dans le bas ventre. Elle resta dans ce sommeil profond pendant quatre jours. Délirant pendant son sommeil, les pupilles rouges la poursuivant sans cesse. Quand elle se réveilla, elle crut en avoir fini, pourtant ce n'était pas le cas, comme elle le vit quelques semaines plus tard. Des envies de nourritures sucrées l'a prirent et des vertiges l'assaillirent. Ce fut une de ses sœurs qui lui révéla qu'elle était enceinte. Le mort-vivant ne l'avait pas seulement mordu, il l'avait aussi violé. L'elfe qui l'avait découverte avait remarqué une certaine quantité de sang. Tout ce sang ne pouvait que lui appartenir.

Pourtant, puisant dans le peu d'espoir qui lui restait, elle décida de garder l'enfant malgré la réticence de sa famille et de son clan. Sa bonté lui empêcha de tuer ce dernier encore dans son ventre, même si elle se demandait qu'est-ce qui grandissait en elle, être de pureté et de bonté.

C'est ainsi que naquit Isilwan Sinëa, un jour de tempête et de neige sous une lune rougeoyante.

Isilwen était une enfant fragile dès sa naissance, nécessitant une attention et des soins constants. Elle tombait souvent dans les pommes, et cette faiblesse déconcertait sa mère, car les guérisseuses n'en trouvaient pas la raison. Sinon Isilwen était une petite elfe fort mignonne, à qui on prédisait une grande beauté, mais elle possédait aussi un côté sombre et solitaire qui se manifesta dès ses 5 ans. Elle était plus fatiguée la journée que la nuit, se promenant souvent dans la maison aux heures nocturnes, n'ayant aucune difficulté à s'orienter dans le noir. Les guérisseuses l'avaient examiné, mais n'avaient pu la sonder complètement, une partie de son être leur étant inaccessible.

A six ans, elle était partie jouer dans la forêt avec une autre elfe du nom de Silfia. Cette dernière se blessa en tombant sur le sol. Un petit caillou lui avait légèrement percé la peau au niveau de l'avant-bras. Isilwen avait couru vers Silfia qui pleurait en tenant son bras devant elle. La petite elfe voulut regarder la coupure de son amie pour la soigner, mais au moment où ses yeux se posèrent sur le fluide rouge, elle se figea. Quelque chose en elle pulsa, remontant du fond de son esprit. La vue du sang l'a captiva, il n'existait plus rien en dehors de cette petite goutte qui perlait sur la peau douce et blanche de son amie. Sans faire attention, elle se pencha, collant sa bouche contre la fine coupure. Le contact fit tressaillir les deux enfants, mais pour des raisons différentes. Isilwen aspira lentement, sentant quelques gouttes du liquide glisser sur sa langue. Un frisson de chaleur la parcourut, lui laissant une sensation de bien-être étrange. Elle aspira avec plus de force, mais une voix lui parvint, la sortant de sa transe.

Silfia avait fermé les yeux et lui disait qu'elle avait mal. Isilwen se dégagea, ne sachant que penser, puis regarda la plaie de l'autre enfant. Cette dernière ne saignait plus, mais on pouvait remarquer que la marque d'un suçon apparaissait progressivement. Avait-elle aspiré si fort? Elle n'en avait pas l'impression. Elle ne comprenait pas ce qui s'était passé, mais elle éprouvait un sentiment d'insatisfaction et de faim. Pourtant, elle rejeta tout cela au fond d'elle et tendit la main à Silfia.

Silfia avait souri, sans accorder plus d'importance au comportement de son amie, ne se rendant même pas compte que les yeux d'Isilwen n'étaient plus des yeux marron, mais des pupilles fendues, rouges comme le sang, et ce, pendant plusieurs secondes. Elles étaient rentrées ensemble, gardant cette histoire secrète. Cependant, la nuit qui suivit, pendant son sommeil, le corps d'Isilwen changea, à l'insu de tous.

Ce n'est que quatre ans plus tard que la tragédie qui entraîna l'exil d'Illianaë et de sa fille eut lieu. Isilwen était allongée sur l'herbe en compagnie de son éternelle amie Silfia, sur une colline qui dominait le village. Elles étaient collées l'une à l'autre, proche comme deux soeurs, dormant d'un sommeil paisible. La tête d'Isilwen glissa, à cause d'un mouvement de l'autre jeune fille, et se cala contre l'épaule de cette dernière, ses lèvres à deux centimètres du délicat petit cou de Silfia. L'odeur de son amie réveilla en l'enfant le sentiment qu'elle avait ressenti il y avait quatre ans de cela. Elle immergea à moitié, l'esprit brumeux et vide, et ses yeux se fixèrent sur les petits filaments qui courait sous la peau d'albâtre de son amie. Contrôlée par un instinct qu'elle ne connaissait pas, elle colla ses lèvres contre le cou de Silfia, entrouvrant la bouche puis la refermant doucement sur la peau de cette dernière, qui fût parcourue par un doux frisson.

Isilwen ne pensait plus, ne faisant que répondre bêtement aux pulsions qui s'éveillaient en elle. Elle encercla Silfia de ses bras, la pressant contre elle. La petite elfe se mit à pousser de petits gémissements dans son sommeil, enlaçant à son tour son amie. Un elfe les vit ainsi, enlacé l'une à l'autre. Il s'approcha, intrigué , et se rendit compte de ce qui se passait. Il se précipita pour les séparer, arrachant brutalement Silfia à l'étreinte mortelle de son amie, prise d'une pâleur inquiétante. Isilwen sentit juste qu'on lui retirait son amie, et le doux nectar qui coulait encore dans sa gorge. Elle ouvrit les yeux en essayant de la rattraper, et vit une scène qui lui fit d'abord peur. Son amie Silfia, dont un mince filet de sang coulait depuis son cou, serré dans les bras d'un elfe qui lui lançait un regard rempli d'horreur et de mépris, fixé sur les deux pupilles fendues de la fille.

Elle sentit une goutte sur son menton et s'essuya en vitesse en pensant qu'elle avait un peu bavé durant son sommeil, mais elle se figea quand son regard se posa sur sa main. La trainée écarlate qui la barrait l'a fît trembler, des centaines de questions se bousculant dans sa petite tête d'enfant. Elle resta ainsi, le regard perdu sur sa main ensanglantée, surveillée par quelques adultes pendant qu'on emmenait Silfia chez une guérisseuse.

Illianaë s'effondra quand on lui ramena sa fille, qui ne réagissait plus, son esprit déchiré par ce qu'elle avait fait. La mère s'occupa de sa fille tant bien que mal, même si une ancienne peur l'empêchait de prendre sa fille dans ses bras. Personne n'arrivait à sortir Isilwen de son isolement, en tout cas pas les rares qui essayèrent. Personne ne voulait plus s'approcher de la jeune elfe, la rejetant et en parlant comme une horreur de la nature, une abomination et une créature des ténèbres. Les anciens réfléchissaient déjà au châtiment qu'il affligerait à la fille, mais aussi à la mère qui en était responsable. Cependant, au plus grand étonnement, ce fut Silfia, qui avait retrouvé la forme au bout de deux jours, qui sortit Isilwen des méandres de son esprit brisé. Elle seule put l'atteindre. Silfia avait pris Isilwen dans ses bras, n'ayant aucune crainte, car elle avait une confiance absolue dans son amie.

Les anciens proclamèrent que la "fille démoniaque" et sa mère seraient exilées dans un monde outre-portes. Personne ne s'y opposa, si ce n'est Silfia, mais Isilwen la prit dans ses bras, à la surprise de tout le monde. Certains adultes se précipitèrent, mais un mot d'un des anciens les arrêta immédiatement. Ce que les deux filles se dirent ce jour-là, nul ne le sait. Les mages elfes escortèrent Illianaë et sa fille jusqu'à un passage vers un autre monde, dans lequel les deux elfes s'engouffrèrent, sans un regard en arrière.

Elles apparurent en (...), et s'installèrent au début à l'écart des villes et des (...). Puis, dissimulant leurs oreilles elfiques, principale différence avec les (...), si ce n'est la beauté et leur grâce naturelle, elles commencèrent à s'intégrer à la société, habitant dans un village loin des métropoles, le temps d'apprendre les coutumes et langues locales. Elles vécurent tranquillement, Illianaë s'étend résolu à nourrir sa fille de son sang pour qu'elle ne soit pas obligée de se servir ailleurs, sa faim devenant irrésistible au bout de quelques jours. Isilwen appris continua son apprentissage des danses auprès de différents groupes de saltimbanques qui passaient dans le village et ceux des environs. Isilwen avait hérité de la fluidité, de la grâce et de la beauté des elfes, mais aussi une aura de présence, une force et une sensualité digne d'un vampire. La danse devint sa passion durant de nombreuses années, apprenant le plus possible de styles différents avec une facilité qui époustouflait ses professeurs de passage. Elle se mit à travailler dans la taverne du village pour aider sa mère à subvenir à leurs besoins, captivant chaque soir les visages des clients qui ne s'en lassaient jamais de ses pas ou de sa voix mélodieuse et fluette. Les rumeurs d'une fille se mouvant telles les déesses des légendes se répandirent lentement, mais Isilwen n'était pas attirée par la renommée, au contraire. Quand son talent se fit connaître au-delà de ses idées les plus folles, elle se retira pour retourner auprès de sa mère. Cependant, un guerrier demi-Drow rénégat, séduit par sa danse, se décida à l'élever à un autre niveau. Il lui enseigna l'art du combat des "Dance-Lames", ce qu'elle accepta pour des raisons bienveillantes, rejetant en elle l'excitation qui lui procurait une telle pratique. Son style de combat s'inspira de sa passion, lui permettant de créer ses propres techniques. Ainsi, au jeune âge de 66 ans, elle se décida à quitter sa mère pour se lancer à la découverte des mondes qui l'entourait. Elle était devenue une beauté incontestée, une danseuse divine et une combattante mortelle. Elle était une elfe sombre, un vampire de pureté. Elle était une Elfe de Sang.

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Isilwen Sinëa

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